Femmes en Iran, par Chirinne Ardakani

Avocate, en droit des étrangers et en droit pénal, Chirinne Ardakani est née en France, de parents iraniens exilés à la fin des années 1980. Sa mère refusant d’élever ses enfants dans la République islamique d’Iran.
En 2022, révoltée par la mort de Jîna Mahsa Amini, elle fonde avec d’autres avocats le collectif Iran Justice et documente les exactions du régime de la République Islamique d’Iran à l’encontre de sa population en soutien au mouvement de révolte Femme, Vie, Liberté.
Le collectif répertorie les preuves d’arrestations arbitraires de manifestants, de viols en détention, avec pour objectif de pouvoir attaquer leurs auteurs devant les juridictions internationales.
Chirinne Ardakani est aussi l’avocate de la famille de Narges Mohammadi, militante féministe iranienne et prix Nobel de la Paix 2023.
En 2022, révoltée par la mort de Jîna Mahsa Amini, elle fonde avec d’autres avocats le collectif Iran Justice et documente les exactions du régime de la République Islamique d’Iran à l’encontre de sa population en soutien au mouvement de révolte Femme, Vie, Liberté.
Le collectif répertorie les preuves d’arrestations arbitraires de manifestants, de viols en détention, avec pour objectif de pouvoir attaquer leurs auteurs devant les juridictions internationales.
Chirinne Ardakani est aussi l’avocate de la famille de Narges Mohammadi, militante féministe iranienne et prix Nobel de la Paix 2023.
Découvrez son témoignage, « Jîna Mahsa Amini meurt parce que c'est une femme qui refuse de se soumettre à la loi patriarcale ».